Les 25 bosses: Un mot d’Elsa

Nous attendions avec impatience ce dimanche 4 octobre depuis des semaines… ! Quentin a eu la très bonne idée de nous proposer d’aller courir sur le circuit des 25 bosses de Fontainebleau et nous étions enthousiastes ! La mauvaise météo de la semaine dernière nous a un peu refroidis (c’est le cas de le dire…) mais samedi la grenouille de la météo a prédit un temps plutôt sec au moins jusqu’à 11h. Nous nous sommes donc donnés rendez-vous un peu avant 8h à Bures pour le grand départ. Ne pensant qu’à courir et n’écoutant (presque tous) rien des indications de notre bienveillant Quentin, nous avons entré une mauvaise adresse dans nos GPS !!! Après, du coup, un peu de tourisme pour trouver le bon parking, nous voilà arrivés à bon port vers 9h. Fanny, elle, avait la bonne adresse du premier coup (bravo Fanny)
Ensuite, ensuite… on a couru, ça monte un peu, beaucoup, à la folie puis, ouf, ça descend un peu, beaucoup, à la folie 😊, mais ça remonte toujours et toujours et… toujours troooop ! Le paysage est magnifique, les cailloux glissent et ça nous fait rire, le chemin se tortille dans tous les sens (« Elle est où la trace ? » « T’as du rouge ? » « Oh non, ne me dis pas qu’on doit passer tout là-haut ??? »), les arbres sont mal plantés (au milieu du chemin) nous empêchant de maintenir notre belle cadence de 4 km/h mais on adore, les racines glissent elles aussi « Attention ça gliiiiiise », le sable est mouillé (quel bonheur de ne pas se croire au MDS…)… bref, on est unanimes : nous avons adoré ce parcours et nous avons passé une superbe matinée !!!

Nous avons également découvert bien des choses sur ces fameuses bosses… le club est truffé de belles pépites :

• de beaux spécimens de chamois (standing ovation à Pierre « The » chamois),
• des nanas ultra motivées (Béa, Ghislaine, Nadia, Fanny, Elsa),
• un adepte de la sieste en plein parcours sur un douillet matelas d’épines de pins (Quentin),
• un chercheur de traces rouges toujours à 100 à l’heure (Nicolas),
• des hommes toujours là pour aider celles (et ceux) qui avaient besoin d’un peu d’aide dans les sauts vertigineux (Jean-Raoult, Loïc).

Nous avons aussi eu la chance de courir avec le (vrai) mari de Ghislaine et le papa de Fanny.

Arrivés quelque chose comme 4h plus tard, nous retrouvé le parking sous une belle ola accompagnés d’applaudissements qui ont encore un peu plus agrandi nos sourires !

Enfin, après s’être refait une beauté, nous avons bu un petit coup et pique-niqué avec un gros caillou en guise de table (évidemment).

Petit bémol : la grenouille de la météo nous avait prédit de la pluie à 11h, on l’attend toujours… si on ne peut même plus compter sur la grenouille, où va-t-on ?

Merci encore à Quentin pour l’organisation de cette belle sortie et… vivement la prochaine !

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